Notice bibliographique
- Notice
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : sans médiation
Auteur(s) : Kadosch, Marcel (1921-....)
Titre(s) : Liaisons dangereuses à très haut débit [Texte imprimé] / Marcel Kadosch
Publication : Arcueil : Marcel Kadosch, impr. 2018
Impression : impr. aux États-Unis
Description matérielle : 1 vol. (92 p.) ; 23 cm
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 9781985581654 (br.) : 4,69 EUR
EAN 9781985581654
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb45525811h
Notice n° :
FRBNF45525811
Résumé : Ce livre pourrait être qualifié de " Polar Artificiel ". Le cas étudié ressemble par
de nombreux cotés à « La Lettre volée » (E. Poe), et au « Chapeau de paille d'Italie
» (E. Labiche) : l'Objet recherché a peut-être été mangé par un robot , comme le chapeau
de paille par un cheval. L'auteur commence par demander : qu'appelle-t-on pensée,
et comment une machine peut-elle penser ? En racontant une histoire, affirme G. Bateson
. C'est ainsi qu'un esprit prouve qu'il pense, et qu'une machine le prouvera : en
racontant des histoires de machines, qui communiquent entre elles, et avec leur environnement,
dont les êtres humains. Une machine doit utiliser à cet effet avec pertinence beaucoup
de sa propre énergie pour communiquer. Mais il peut arriver, à la suite d'un dysfonctionnement
par exemple, qu'elle dépense toute son énergie pour ne pas communiquer ! Le livre
raconte l'histoire véridique de ce cas, survenu à l'Intelligence Artificielle d'un
Fournisseur d'Accès à l'Internet : le FAI offre au téléspectateur un abonnement mensuel
à des prestations de qualité délivrées à très haut débit. Favorablement impressionné,
un client accepte avec confiance un prélèvement automatique, il ne regarde pas les
factures. Mais elles augmentent de manière inquiétante mois après mois, et on finit
par l'informer qu'un prélèvement plus que double sera effectué sur son compte bancaire
pour des prestations à venir le mois prochain : notamment pour un bouquet dans une
contrée lointaine qui ne figure pas dans son contrat. Il perd alors confiance, supprime
le prélèvement automatique et règle ce qui correspond à son abonnement à l'aide d'un
chèque. L'IA du FAI ignore l'existence de ce chèque, qui pour une raison qui reste
encore inconnue à ce jour disparaît de la circulation. Elle somme le client de payer
en ligne . Le chèque attend en vain que l'IA du FAI le trouve. Elle n'a encore rien
trouvé. Le client a obtenu que le FAI finisse par recourir à l'intervention humaine
d'un Deus Ex Machina [source éditeur]