Notice bibliographique

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Auteur(s) : Golan, Romy  Voir les notices liées en tant qu'auteur

Titre(s) : Muralnomad [Texte imprimé] : le paradoxe de l'image murale en Europe, 1927-1957 / Romy Golan ; traduction de l'anglais (États-Unis) par Sophie Yersin Legrand

Traduction de : Muralnomad : the paradox of wall painting, Europe 1927-1957

Publication : Paris : Éditions Macula, copyright 2018

Impression : impr. en Italie

Description matérielle : 1 vol. (391 p.) : ill. en coul. ; 28 cm

Note(s) : Index


Autre(s) auteur(s) : Yersin Legrand, Sophie. Traducteur  Voir les notices liées en tant qu'auteur


Sujet(s) : Peinture et décoration murales -- Europe -- 1900-1945  Voir les notices liées en tant que sujet
Peinture et décoration murales -- Europe -- 1945-1970  Voir les notices liées en tant que sujet

Indice(s) Dewey :  751.730 94 (23e éd.) = Peintures murales et fresques - Europe  Voir les notices liées en tant que sujet


Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-86589-103-0 (br.) : 44 EUR
EAN 9782865891030

Identifiant de la notice  : ark:/12148/cb45515356w

Notice n° :  FRBNF45515356


Résumé : Dans Muralnomad. Le paradoxe de l'image murale en Europe (1927-1957), Romy Golan se concentre sur une série d'objets fascinants : certains aussi curieux que la grande mosaïque de Mario Sironi, Il lavoro fascista, exposée à l'origine à la Triennale de Milan de 1936, et déplacée à Paris pour l'Exposition universelle de 1937 : son mode d'exposition, que l'on doit à l'architecte Giuseppe Pagano, y est inédit : la mosaïque est suspendue au milieu de la salle, avec un accès privilégié à sa face cachée (son dos). Romy Golan recourt à l'École viennoise d'histoire de l'art et à Aloïs Riegl et montre ce que cette œuvre doit aux ruines romaines, notamment à l'arc de Constantin édifié à l'aide de spolia, et comment l'œuvre questionne le concept de romanité du régime mussolinien. D'autres exemples étudiés sont des icônes. C'est le cas des Nymphéas de Monet que, par une lecture innovante qui fait appel à Freud et à ses concepts de sentiments océaniques et de traumatisme, Romy Golan relie aux panoramas de champs de bataille. Autre icône, Guernica de Pablo Picasso, que l'auteur replace dans le bâtiment républicain espagnol de l'Exposition universelle de 1937, parmi les photomurals vantant les bienfaits du Frente popular. En s'appuyant sur Walter Benjamin et sa théorie du montage, elle dévoile tout ce que Guernica doit au montage photographique, avec pour exemple ses tons de noir et de blanc, son style « couper-coller » et sa fonction assumée d'agit-prop. Romy Golan se penche encore sur l'Exposition universelle de 1937 ; sur les photomontages, instruments politiques au service des régimes de droite et de gauche ; sur les tentatives françaises et italiennes de produire une synthèse des arts, avec pour résultat la décoration d'immeubles d'habitation en Italie et la tapisserie en France ; sur les tapisseries de Le Corbusier pour Chandigarh. Une iconographie unique riche de 175 images vient illustrer les cinq chapitres du livre avec des images méconnues ou rares. [source éditeur]


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