Notice bibliographique
- Notice
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : sans médiation
Titre(s) : Lalibèté ka vini ! [Texte imprimé] : décrets d'abolition de l'esclavage, 27 avril1848 / [édité par] Rodolf Étienne ; traduction et commentaires de Rodolf Étienne ; préface de Myriam Cottias
Édition : Édition bilingue créole-français
Publication : [Paris] : SCITEP, 2018
Impression : 93-La Plaine-Saint-Denis : ISI print
Description matérielle : 1 vol. (138 p.) : ill. ; 24 cm
Collection : Collection Documents
Lien à la collection : Documents (SCITEP éd.)
Note(s) : Bibliogr. p. 137-138
Autre(s) auteur(s) : Étienne, Rodolf (1970-....). Éditeur scientifique
Autre(s) forme(s) du titre :
- Titre(s) parallèle(s) : Lalibèté ka vini ! : dékré labolisyon
lesklavaj , 27 avril 1848
Sujet(s) : Esclavage -- Abolition -- Colonies françaises -- Histoire -- Sources
Indice(s) Dewey :
326.094 409 (23e éd.) = Esclavage et émancipation - France - Histoire
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 979-10-93143-17-0 (br.) : 22 EUR
EAN 9791093143170
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb454736658
Notice n° :
FRBNF45473665
Résumé : Cette traduction est la première en créole des décrets d'abolition de l'esclavage
de 1848. Ces textes fondamentaux aident à mieux comprendre cette époque de grands
bouleversements et de changements radicaux, dont les répercussions se ressentent encore
de nos jours. Validés le 27avril par le gouvernement provisoire, les décrets d'abolition
de l'esclavage vont présider à la destinée de plus de 25000 «nouveaux citoyens français»,
hommes, femmes et enfants des 15 colonies et possessions françaises jusqu'alors maintenus
sous le joug de la servitude, au bon vouloir des maîtres. Mais leur promulgation se
fait attendre : l'impatience qui monte et la colère qui gronde sont annonciateurs
de troubles. Dans l'urgence, c'est en créole que les autorités annoncent aux populations
que l'émancipation est sur le point d'être promulguée. En présentant ces décrets à
la fois dans leur version d'origine et dans leur traduction en créole, Rodolf Étienne
fait deux choses : il donne une nouvelle vie à un texte historique, fondamental pour
la compréhension de l'histoire des colonies, et plus largement de l'histoire de France
; il rend hommage à cette démarche de l'époque, qui a consisté à porter l'information
aux intéressés dans la langue qu'ils comprenaient le mieux alors. [source éditeur]