Notice bibliographique
- Notice
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : sans médiation
Auteur(s) : Pagnol, Marcel (1895-1974)
Titre(s) : "Je te souhaite beaucoup d'ennemis comme moi" [Texte imprimé] : correspondances intimes et littéraires / Marcel Pagnol ; préface de Philippe Caubère ; édition établie par Nicolas Pagnol et Thierry Dehayes
Publication : Paris : Robert Laffont, DL 2017
Impression : 61-Lonrai : Normandie roto impr.
Description matérielle : 1 vol. (358 p.) : ill. ; 24 cm
Autre(s) auteur(s) : Caubère, Philippe (1950-....). Préfacier
Pagnol, Nicolas (1973-....). Éditeur scientifique
Dehayes, Thierry (1963-....). Éditeur scientifique
Genre ou forme : Correspondance
Indice(s) Dewey :
791.430 233092 (23e éd.) = Cinéma - Réalisation - Biographie ; 846.91 (23e éd.) = Genre épistolaire de langue française - 1900-1999 [oeuvre]
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-221-20327-9 (br.) : 24 EUR
EAN 9782221203279
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb45404156q
Notice n° :
FRBNF45404156
Résumé : Pour la première fois révélées au grand jour, les lettres de Marcel Pagnol à ses proches,
à Jean Giono, Georges Simenon, Albert Cohen... On le sait, Pagnol a toujours été un
grand tendre, doublé d'un grand pudique. Les correspondances exhumées par Nicolas,
son petit-fils, nous dévoilent ainsi un pan de vie qu'il avait tenu à l'abri des regards.
Dans ses Souvenirs d'enfance, il nous avait accueillis à Marseille, au sein de sa
famille, et nous avait présenté Joseph, son instituteur de père, et le petit Paul,
son frère : à présent, tous deux observent leur Marcel (devenu grand) triompher à
Paris, au théâtre. Plus tard, marié à la belle Jacqueline, il écrit lui-même à son
fi ls, toujours attentif, inquiet parfois. La mort lui a pris déjà tant d'êtres chers.
Chez Marcel, l'intime est littéraire et le littéraire devient intime lorsqu'il s'adresse
à Jean Ballard, avec lequel, à dix-huit ans, il fonda une revue, puis à Jean Giono,
qu'il considère comme un génie. Autres correspondants, Georges Simenon et le fidèle
Albert Cohen. Le premier est au sommet de sa gloire et le second travaille à son grand
oeuvre – ni jalousie ni rivalité entre eux. Ils prophétisent la guerre atomique :
Pagnol envisage son départ pour le Connecticut. En coulisses, Pierre Benoit intrigue
pour qu'il soit reçu parmi les Immortels. Kessel évoque quelques soirées mémorables
et Maurice Druon est ébloui par les romans tardifs... Lire ces correspondances, c'est
partager la vie d'un homme et pénétrer le quotidien d'un créateur, comprendre l'histoire
singulière d'une réussite à la française. " Par le savant mélange de subtilité et
de simplicité, de hauteur d'expression, de pureté de langue et d'amitié, d'humour,
de tendresse et de familiarité qui est tout son style, Pagnol nous parle comme à l'oreille.
" Philippe Caubère [source éditeur]