Notice bibliographique
- Notice
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : sans médiation
Auteur(s) : Galabru, Michel (1922-2016)
Titre(s) : Les rôles de ma vie [Texte imprimé] / Michel Galabru ; [avec] Alexandre Raveleau
Publication : [Paris] : Hors collection, DL 2016
Impression : 61-Lonrai : Normandie roto impr.
Description matérielle : 1 vol. (321 p.-[16] p. de pl.) : ill. en coul. ; 24 cm
Note(s) : Bibliogr., 1 p.
Autre(s) auteur(s) : Raveleau, Alexandre (1982-....). Collaborateur
Sujet(s) : Galabru, Michel (1922-2016)
Genre ou forme : Autobiographie
Indice(s) Dewey :
792.028 092 (23e éd.) = Théâtre (arts du spectacle) - Jeu et interprétation - Biographie
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-258-13581-9 (br.) : 18,90 EUR
EAN 9782258135819
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb44515514c
Notice n° :
FRBNF44515514
Résumé : Michel Galabru était l'un des derniers monstres sacrés du cinéma français. Acteur
de la comédie poulaire, il a tourné dans plus de 250 films et téléfilms, tout en menant
en parallèle une belle carrière au théâtre. Considérant souvent le cinéma comme alimentaire
et privilégiant le théâtre. Il a connu tous les acteurs et les réalisateurs de la
seconde moitié du 20ème siècle : de Louis de Funès à Isabelle Adjani en passant Michel
Serrault, Jean Carmet ou Charles Aznavour. Il se souvient, tantôt avec tendresse,
souvent avec humour, des virées avec "ses copains", des tournées à travers la France,
de ses débuts à la Comédie-Française, de sa rencontre avec Marcel Pagnol, de sa fascination
pour Sacha Guitry, du tournage à New York des Gendarmes, du grand rôle de sa vie dans
le film de Bertrand Tavernier : Le Juge et l'Assasin, de sa première figuration aux
côtés de Paul Meurisse déjà grande vedette et amant d'Edith Piaf, du succès de La
Cage aux folles, de son amitié avec Jean-Paul Belmondo... Véritable mémoire du cinéma
français, Michel Galabru a traversé le 20ème siècle et nous livre aujourd'hui ses
souvenirs, les bons comme les mauvais, avec une grande sincérité et une modestie touchante.
Une belle leçon de cinéma, une belle leçon de vie. Un témoignage posthume très émouvant.
[source éditeur]