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Auteur(s) : Halberstam, Gaby  Voir les notices liées en tant qu'auteur

Titre(s) : La liberté porte une chemise rouge sang [Texte imprimé] / Gaby Halberstam ; traduit de l'anglais par Agnès Piganiol

Traduction de : Blue sky freedom

Publication : Montrouge : Bayard jeunesse, impr. 2010

Impression : 72-La Flèche : Impr. CPI Brodard & Taupin

Description matérielle : 1 vol. (338 p.) : couv. ill. en coul. ; 20 cm

Collection : Millézime

Lien à la collection : Millézime  Voir toutes les notices liées

Autre(s) auteur(s) : Piganiol, Agnès (1944-....). Traducteur  Voir les notices liées en tant qu'auteur

Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-7470-2835-6 (br.) : 11,90 EUR
EAN 9782747028356

Identifiant de la notice  : ark:/12148/cb42269866n

Notice n° :  FRBNF42269866

 Cette notice appartient à l'univers jeunesse

Résumé : Afrique du Sud, en 1975, Victoria a 15 ans. Fille de notables, elle fréquente un collège réservé aux Blancs où elle est souvent la victime des moqueries de ses camarades. Contrairement à eux, elle est révoltée par le traitement infligé aux Noirs d'autant qu'elle éprouve des sentiments pour Maswe, son ami d'enfance et le fils de Séraphina, la nounou noire de sa famille. [source Electre]

Infos du Centre national de la littérature pour la jeunesse : 
Genre : Romans
Public destinataire : À partir de 13 ans
Avis critique : Intéressant
Notice critique : Ce roman sur l'apartheid en Afrique du Sud dans les années 1970 est le premier d'une femme qui a passé son enfance en Afrique du Sud, avant de s'installer, à quinze ans, en Angleterre. C'est donc un livre témoignage. Victoria, adolescente blanche, adore la femme, Noire, qui s'occupe de tout dans la maison et est amoureuse du fils de celle-ci Maswe, censé étudier à l'université, mais qui a rejoint le Mouvement de la Conscience Noire. Il lutte, est blessé et recherché par la police. Victoria cache Maswe, le soigne, elle joue aussi les messagères et, pour cela, va seule dans le ghetto noir. Ce roman dénonce bien la lâcheté de certains Blancs, leur racisme. C'est un témoignage fort, mais un roman pas tout à fait abouti, avec des personnages trop stéréotypés. - Le 20101020 , par Aline Eisenegger (publié dans La Revue des livres pour enfants)