Notice bibliographique
- Notice
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : sans médiation
Auteur(s) : Tanguy, Jean-Marc
Titre(s) : Missions extrêmes [Texte imprimé] : le GIGN et l'EPIGN en opération : 1976-2017 / Jean-Marc Tanguy
Publication : Paris : Sophia Histoire & collections, DL 2017
Impression : impr. en Bulgarie
Description matérielle : 1 vol. (139 p.-XXIV p. de pl.) : ill. en coul. ; 24 cm
Sujet(s) : Forces armées -- À l'étranger -- France -- 1970-....
France. Groupe d'intervention de la Gendarmerie nationale
France. Gendarmerie nationale. Escadron parachutiste d'intervention
Indice(s) Dewey :
355.309 44 (23e éd.) = Organisation et personnel des forces militaires - France
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-35250-488-7 (br.) : 19 EUR
EAN 9782352504887
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb453918182
Notice n° :
FRBNF45391818
Résumé : Février 1976, la gendarmerie se déploie pour libérer des otages à Djibouti avec le
Groupe d'Intervention de la Gendarmerie Nationale (GIGN) créé par le lieutenant Christian
Prouteau. Son unité soeur, l'Escadron Parachutiste d'Intervention de la Gendarmerie
Nationale (EPIGN), développe ensuite une compétence de protection de diplomates en
zone de guerre. En 2007, GIGN et EPIGN sont fondus dans un seul et unique GIGN de
400 hommes et femmes, dont le niveau d'emploi à l'étranger s'est encore densifié.
Ce livre inédit éclaire la face la moins éclairée du GIGN, c'est-à-dire celle des
missions menées à l'étranger. Ces dernières sont pourtant tout aussi risquées que
celles réalisées en France du fait de l'isolement des gendarmes en zone de guerre
et sont surtout bien plus nombreuses. Protection de diplomates en zone de guerre,
traque de criminels de guerre dans les Balkans ou de mercenaires aux Comores, libération
d'otages à Djibouti et en océan Indien, poursuite de djihadistes en Afghanistan...
le GIGN et l'EPIGN ont participé à tout cela depuis leur création, et ce, le plus
souvent dans la plus grande discrétion. Jean-Marc Tanguy a rencontré plusieurs dizaines
d'anciens du GIGN et de l'EPIGN depuis 1996, certains lui confiant quelques anecdotes
et d'autres livrant beaucoup plus sous le couvert de l'anonymat afin que l'engagement
de leurs camarades soit connu. Parmi ceux qui ont pu témoigner à visage découvert,
les anciens chefs Denis Favier et Frédéric Gallois. [source éditeur]