Notice bibliographique

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Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : sans médiation

Auteur(s) : Canut, Cécile (1969-....)  Voir les notices liées en tant qu'auteur

Titre(s) : L'île des femmes [Texte imprimé] : paroles de batukaderas de l'île de Santiago, Cap-Vert / Cécile Canut

Publication : Paris : Éditions Pétra, cop. 2017

Impression : 93-La Plaine-Saint-Denis : Isiprint

Description matérielle : 1 vol. (163 p.) ; 22 cm

Collection : Textes en contexte, ISSN 2118-5727

Lien à la collection : Textes en contexte 


Note(s) : Chants transcris en créole capverdien avec trad. française en regard


Sujet(s) : Femmes -- Conditions sociales -- São Tiago (Cap-Vert ; île) -- 1990-2020  Voir les notices liées en tant que sujet
Batuques -- São Tiago (Cap-Vert ; île) -- 1990-2020  Voir les notices liées en tant que sujet

Indice(s) Dewey :  305.420 966 (23e éd.) = Femmes - Rôle social et statut social - Afrique occidentale  Voir les notices liées en tant que sujet


Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-84743-177-3 (br.) : 18 EUR
EAN 9782847431773

Identifiant de la notice  : ark:/12148/cb45334272p

Notice n° :  FRBNF45334272


Résumé : Lors de la préparation du tournage du documentaire "L'île des femmes", Cécile Canut demande à Isalina Jassira Pinto, alias Ja, dedevenir l'actrice principale du film au cours duquel cette dernière décrira son aventure par écrit. Ces textes retravaillés ensemble constitueront la matière de la voix off du film tout autant qu'ils apparaîtront à l'image, en train de s'écrire. Quelques mois plus tard, alors que le film est terminé, ce livre se présente comme un dialogue d'écriture décalé dans le temps, entre la réalisation et l'écriture de Ja devenue, dans l'intervalle, matière cinématographique. Au-delà des moments exceptionnels partagés entre les deux femmes tout au long du tournage sur l'île de Santiago, il s'est agi pour Cécile Canut de faire intervenir une multitude de voix de femmes croisées en chemin, et notamment des batukaderas. Ces femmes paradas - "arrêtées" - comme elles se nomment, celles qui n'ont pas pu partir à l'étranger, tente de construire leur vie malgré les difficultés. Elles ne compte plus sur les hommes depuis longtemps. Par contre, elles se sont réapproprié une pratique inventée par les esclaves : le batuku. Le batuku fait partie des formes musicales les plus anciennes de l'île de Santiago. Caractérisé par un rythme euphorique, des mouvements saccadés du corps, une orchestration basée sur les voix et les percussions, il est devenu essentiellement féminin : les femmes chantent des textes où il est question de leur vie quotidienne, des difficultés de la vie de couple, ou de la séparation. Si elles sont les immobiles, leur vie prend sens à travers cette formidable expression de leur personnalité, tout à la fois cathartique et revendicatrice. À la suite du film, ce livre revient sur la rencontre de ces femmes-hommes (ainis qu'elles se nomment elles-mêmes), en démultipliant les voix d'une expérience intense. [source éditeur]


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