Notice bibliographique
- Notice
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : sans médiation
Auteur(s) : Masters, Edgar Lee (1868-1950)
Titre conventionnel : [Spoon River anthology (français)]
Titre(s) : Spoon river [Texte imprimé] : catalogue des chants de la rivière / Edgar Lee Masters ; traduction, Général Instin ; [édition] établie par Patrick Chatelier ; sur une idée de Benoît Vincent
Traduction de : Spoon river anthology
Publication : Paris : Othello, DL 2016
Impression : 91-Quincy-sous-Sénart : Impr. Parbleu !
Description matérielle : 1 vol. (non paginé [ca 192] p.) ; 14 x 21 cm + 1 carte dépl. et 1 carnet de poèmes
Note(s) : Le carnet de poèmes intitulé "Autres chants de la rivière" est écrit par un collectif
d'artistes
Autre(s) auteur(s) : Chatelier, Patrick (1965-....). Éditeur scientifique
Vincent, Benoît (1976-....). Collaborateur
Général instin (Coulangeron, Yonne). Traducteur
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 979-10-95244-03-5 (br.) : 15 EUR
EAN 9791095244035
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb451974318
Notice n° :
FRBNF45197431
Résumé : Les chants de Spoon River sont ceux des habitants du village de Spoon River (Illinois),
enterre´s sur la colline au-dessus d'une rivie`re, qui forment une constellation de
fanto^mes ferraillant de leurs passe´, de leurs commerces, de leurs ambitions et de
leurs amours… Spoon River Anthology (1915) est un classique aux E´tats-Unis, mais
aussi en Italie, ou` ce titre fait figure de best-seller et a me^me e´te´ adapte´
en chansons par le Génois Fabrizio de André dans son disque Non al denaro non all'amore
ne´ al cielo (1971). Il a e´te´ traduit a` deux reprises en franc¸ais : une premie`re
fois par Michel Pe´tris et Kenneth White sous le titre Spoon River (Champ Libre, 1976),
une deuxie`me fois par Patrick Reumaux sous le titre Des voix sous les pierres. Les
e´pitaphes de Spoon River (Phe´bus/Elisabeth Brunet, 2000). C'est une troisième version
que vous lirez ici, plus fidèle à l'esprit comme à la lettre… même si certains textes
ont été recréés — humains et même animaux cités dans l'œuvre de Masters, mais qui
n'avaient pas d'épitaphe spécifique — et des cartes ajoutées. Sous l'égide du Général
Instin, un soldat s'est attelé à la tâche de les traduire dès leur parution. [source
éditeur]