Notice bibliographique
- Notice
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté. Image fixe : sans médiation
Auteur(s) : Malagrida, Anna (1970-....). Illustrateur
Ziebinska-Lewandowska, Karolina (1975-....)
Alloa, Emmanuel (1980-....)
Titre(s) : Cristal House [Texte imprimé] / [photographies de] Anna Malagrida ; [texte de Karolina Ziebinska-Lewandowska et Emmanuel Alloa]
Publication : Trézélan : Filigranes éditions, DL 2016
Impression : impr. en Italie
Description matérielle : 1 vol. (152 p.) : ill. en coul. ; 25 cm
Note(s) : Publ. à l'occasion de l'exposition éponyme, Paris, Centre national d'art et de culture
Georges Pompidou, Galerie de photographies, 28 septembre-17 octobre 2016. - Projet
réalisé dans les cafés PMU dans la rue du Renard et du 4 septembre à Paris entre les
mois de février et mai 2016. - Texte français suivi de la trad. anglaise
Autre(s) titre(s) conventionnel(s) : [Exposition. Paris, Centre national d'art et de culture Georges Pompidou. 2016]
Indice(s) Dewey :
779.092 (23e éd.) = Images photographiques - Biographie
Identifiants, prix et caractéristiques : ISBN 978-2-35046-398-8 (br.) : 25 EUR
EAN 9782350463988
Identifiant de la notice : ark:/12148/cb45170370s
Notice n° :
FRBNF45170370
Résumé : Des mains se détachent dans la pénombre devant le vacarme et l'anonymat de la grande
ville. Elles évoquent la rencontre avec l'autre et l'arrêt sur son histoire. Des moments
qui permettent de dépasser le chaos et l'hostilité de la métropole observée à travers
la vitre. La nouvelle réalisation d'Anna Malagrida, pour la Carte blanche PMU, est
faite de contrastes. Au centre il y a la métropole où se croisent des millions de
destins humains ; la métropole dont l'attractivité, l'intensité et le capital économique
attirent les indi-vidus du monde entier qui espèrent y trouver une vie meilleure.
Mais c'est également la métropole qui repousse, isole, déçoit. Anna Malagrida s'arrête
sur cette contradiction et la soumet à une obser-vation intense. Pour les photographies
qu'elle propose, l'artiste tourne la caméra vers l'intérieur, un intérieur comme celui
d'un bar et s'introduit parmi ceux qui sont là. Elle les regarde de près, mais elle
les écoute aussi – les fragments d'histoires qu'elle a recueillis sont inscrits sur
les murs de la galerie. Les images sont très sombres, les mains sont le seul élément
qu'on y distingue. [source éditeur]