Notice bibliographique

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Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Musique notée : sans médiation

Auteur(s) : Sacre, Guy (1948-....). Compositeur  Voir les notices liées en tant qu'auteur

Titre conventionnel : [Cinq poèmes d'Apollinaire]  Voir les notices associées à la même oeuvre

Titre(s) : Cinq poèmes d'Apollinaire [Musique imprimée] : baryton et piano / Guy Sacre

Publication : Lyon : Symétrie, 2015

Impression : 69-Lyon : Impr. Symétrie

Description matérielle : 12 p. : ill. en coul. ; 30 cm

Note(s) : Durée : ca 7 min. - Notice biographique et note sur l'oeuvre en français et anglais

Distribution musicale : voix - baryton (01) (solo), clavier - piano (1)



Autre(s) auteur(s) : Apollinaire, Guillaume (1880-1918). Auteur du texte  Voir les notices liées en tant qu'auteur

Genre ou forme : Mélodies acc. de piano -- 20e siècle  Voir les notices liées en tant que genre ou forme
Mélodies françaises -- 20e siècle  Voir les notices liées en tant que genre ou forme


Identifiants, prix et caractéristiques : EAN 9790231807448
ISMN 979-0-2318-0744-8 (br.) : 12 EUR

Identifiant de la notice  : ark:/12148/cb442865016

Notice n° :  FRBNF44286501

Univers musique Cette notice appartient à l'univers musique


Résumé : La poésie d Apollinaire comme celle de Verlaine est presque toute déjà musique : comment ne tenterait-elle pas un musicien ? Mais justement, cette attirance doit le mettre en garde ; ce qui chez elle est vertu, chez lui peut tourner, s affadir, pis encore, s aigrir. Céder à la « chanson », pour une « mélodie », ce n est pas déchoir ; mais à la « chansonnette », je ne sais& Dans Apollinaire, comme dans Verlaine, le compositeur devra surveiller ses élans (d oreille, plus encore que de cSur) et se méfier du pléonasme. « La rose flotte au fil de l eau » : que voulez-vous ajouter à ce vers sans poids ni pose ? Tout au plus peut-on le « dire », le plus humblement du monde, en en réservant l effet magique, qui ne naîtra presque jamais des notes, toujours des mots. Ces précautions ne sont pas oratoires : j ai beaucoup hésité à « musiquer » Apollinaire, que je savais par cSur à quinze ans. Et de découvrir les uns après les autres tant de compositeurs ayant puisé à cette source inexhaustible ne serait-ce que l énorme catalogue de Poulenc me confortait dans ma crainte, me signifiait à nouveau que nous avons peut-être tort de mettre de la musique, comme disait à peu près Hugo, au long de vers qui n ont pas besoin de nous pour chanter. J y suis pourtant venu, à mon tour, et je sais quel a été le déclic : c est, en relisant pour de bon ces poèmes (car la mémoire les use, il faut un jour les redécouvrir), d avoir perçu, entre tel et tel, un fil mystérieux, dessinant quelque chose comme un parcours, je ne veux pas dire un récit. De ce lien secret est né ce petit cycle. J emploie ce mot à dessein, de préférence au mot recueil : si fort que je puisse aimer vingt autres poèmes d Apollinaire, aucun ne s y pourrait glisser sans en rompre la cohérence, le climat de mélancolie et de regret. [source éditeur]


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Richelieu - Musique - magasin

1 partie d'exemplaire regroupée

VMG-60151
support : musique imprimée
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